Nella notte, intorno alle 3:00, è approdato un barcone con 95 persone, tra cui 2 bambine, probabilmente tutte di nazionalità tunisina.
Il barcone è stato avvistato e soccorso dai militari della Guardia di Finanza a circa 30miglia dall'isola, mentre imbarcava acqua.
Continuano a sbarcare sull'isola di Lampedusa, che riversa sempre più in una situazione molto critica a causa dell'alto numero di profughi.(Guarda il video degli scontri con le forze dell’ordine).
Ancora una volta il sovraffollamento e la promiscuità tra adulti, minori, nuclei familiari e donne sole è causa di forti tensioni.

Lampedusa: Arrivano in 95 nella notte. La promiscuità tra adulti, minori, nuclei familiari e donne sole è ancora causa di forti tensioni.

Nella notte, intorno alle 3:00, è approdato un barcone con 95 persone, tra cui 2 bambine, probabilmente tutte di nazionalità tunisina. Il ...
A Squillace, nel Catanzarese è nato il centro di accoglienza per minori stranieri non accompagnati denominato Vivarium e gestito dalla Fondazione Città solidale, organizzazione religiosa dell'Arcidiocesi di Catanzaro. Attualmente presso il centro Calabrese sono ospitati 22 minori sbarcati a Lampedusa e provenienti dalla Tunisia, dal Ghana, dal Gambia, dalla Nigeria, dalla Costa d’Avorio, dal Mali e dall’Eritrea. Tra circa un mese la comunità avrà una sede-accoglienza “ad hoc” nel Centro Storico di Squillace. Come riporta il comunicato, già dal 2008 la Fondazione su affidamento del Comune di Catanzaro e con il finanziamento dell’Associazione nazionale comuni italiani, gestisce la Casa di Alì, un’altra struttura per minori stranieri non accompagnati che ha accolto finora oltre 100 ragazzi e che è considerata un’esperienza pilota sul territorio nazionale.

Ancora una volta i Calabresi campioni di accoglienza

A Squillace, nel Catanzarese è nato il centro di accoglienza per minori stranieri non accompagnati denominato Vivarium e gestito dalla Fond...

Le Président du Conseil général vient de suspendre, à compter du 1er septembre, l’accueil des mineurs isolés étrangers arrivés sur le territoire de la Seine-Saint-Denis et confiés par décisions de justice aux services de l’Aide sociale à l’enfance.
Cette décision, extrême, est motivée par le refus du gouvernement d’assumer ses responsabilités dans l’accueil de ces enfants qui, fuyant la guerre et la misère, viennent en France en vue d’un asile et d’un nouvel espoir de vie. La Seine-Saint-Denis, comme Paris, le Nord-Pas-de-Calais et Mayotte sont des entrées naturelles vers notre pays.
Le gouvernement use de cette réalité comme prétexte pour se défausser. Ainsi, sur 4 à 6000 mineurs isolés en France, près de 1000 d’entre eux, cette année, sont dans notre département. Arrivés à l’aéroport rattaché à la préfecture, ils sont à notre seule charge et ce suivi représente une dépense de 35 millions d’euros.
Le contexte mondial laissant présager un accroissement du flux, cette situation ne peut plus durer.
Le silence du gouvernement à l’égard de ce problème marque son cynisme et son mépris pour ces jeunes mineurs comme pour l’ensemble des habitants de Seine-Saint-Denis.
En effet, chacun sait que ce sont près de 700 millions au total que le gouvernement ne compense pas au département sur l’ensemble des charges qu’il lui a pourtant transférées dans le cadre de la loi de décentralisation. Nous ne pouvons accepter que ces jeunes, ainsi que l’ensemble des séquano- dionysiens fassent les frais de cette politique.
Il faut donc exiger du gouvernement qu’il prenne les dispositions humaines urgentes et concrètes pour ces jeunes dans la situation nouvelle ainsi créée. Leur sort ne nous est pas indifférent.
Le dialogue et la concertation doivent reprendre très vite dans le cadre d’une table ronde avec l’ensemble des autorités ministérielles, départementales et associatives pour que ces enfants en détresse soient placés, réellement, sous la protection de la solidarité nationale et qu’ils trouvent, dans notre pays, un avenir dans une nouvelle citoyenneté.
Au sein du Conseil général, une cellule de crise doit être mise en place regroupant tous les acteurs sous l’autorité du Président et du Vice-président en charge du secteur.


Plus largement il faut accentuer l’action pour le remboursement des dettes de l’État : nous avons besoin de ces centaines de millions pour venir en aide à nos concitoyens frappés par la crise et pour le développement de notre territoire. 



http://pcfaubervilliers.fr

Il faut rétablir l’accueil des mineurs isolés étrangers !

Le Président du Conseil général vient de suspendre, à compter du 1er septembre, l’accueil des mineurs isolés étrangers arrivés sur le terri...

Depuis le 1er septembre, le Conseil général de la Seine-Saint-Denis refuse d’accueillir les mineurs isolés étrangers (MIE), des enfants sans représentants légaux sur le territoire habituellement pris en charge par les services départementaux. En prenant cette décision, Claude Bartolone a mis en lumière une problématique aux enjeux complexes et divers.

Claude Bartolone, le 17 janvier 2011(LUDOVIC-POOL/SIPA)
Claude Bartolone, le 17 janvier 2011(LUDOVIC-POOL/SIPA)

Ce phénomène n’est pourtant pas nouveau : France terre d’asile y est confronté depuis la fin des années 1990. Ce qui nous a amené à formuler des propositions aux échelons local et national, mais aussi auprès des institutions de l’Union européenne et des Nations unies.

Fort de cette expérience unique et au-delà de toute instrumentalisation politique, une tentation naturelle dès lors que sont en jeu des sujets aussi sensibles que l’immigration et les finances publiques, nous tenons à rappeler l’impératif de protection qui devrait constituer le cœur des débats en ce domaine.

Certes, les interrogations tenant au financement de l’accueil de ce public ne doivent pas être négligées. En plus de dix ans, de nombreuses pistes de réflexion ont été soulevées. À ce jour, les propositions les plus innovantes autour d’un redéploiement cohérent des compétences et des moyens retenus par le préfet Bertrand Landrieu en 2003, ou encore la sénatrice Isabelle Debré en 2010, sont pourtant restées lettre morte.

Mais la répartition budgétaire et le partage des compétences ne doivent pas occulter l’impératif prioritaire auquel est tenu l’État français : protéger les droits de l’enfant et plus largement veiller au respect des droits fondamentaux des personnes. Afin de respecter ces engagements, qui découlent en particulier de la Convention internationale des droits de l’enfant, la situation des mineurs isolés étrangers doit être améliorée sur de nombreux aspects juridiques et sociaux.

Le château de Taverny (95) transformé par la Croix-Rouge en 2003 en centre d'accueil pour les mineurs isolés arrivés à l'aéroport de Roissy, février 2007 (POUZET/SIPA)
 Centre d'accueil pour les mineurs isolés arrivés à l'aéroport de Roissy, Taverny (95), février 2007 (POUZET/SIPA)

1. En premier lieu, ils ne doivent pas être soumis comme les autres migrants aux restrictions imposées par les politiques migratoires. Le refoulement à la frontière et la détention ne doivent en aucun cas leur être applicables. Enfin, tout éloignement du territoire doit prendre en considération l’intérêt supérieur de l’enfant, qui implique la prise en compte de sa volonté. De plus, les mineurs ayant subi des persécutions dans leur pays d’origine doivent pouvoir bénéficier d’une procédure d’asile adaptée.

2. Concernant la reconnaissance de la minorité, il est indispensable de définir un protocole pluridisciplinaire de détermination de l’âge permettant d’abandonner l’évaluation purement médicale, justement critiquée en raison de son imprécision. La minorité devrait entraîner la désignation sans délai d’un représentant légal unique, formé spécifiquement à cette problématique.

Tout doit également être mis en œuvre pour permettre l’intégration des mineurs isolés étrangers présents sur le territoire. À ce titre, ils doivent bénéficier d’un droit inconditionnel à la scolarité, de programmes de formation professionnelle et d’un accès aux soins. Enfin, il convient de désigner un interlocuteur unique à l’échelle nationale et, à cet égard, on ne peut que regretter la disparition du défenseur des enfants en tant qu’institution.



La protection de ces jeunes gens n’est pas seulement un impératif juridique. Il représente une obligation éthique et un enjeu d’avenir que le gouvernement de la France ne saurait sacrifier à des préoccupations idéologiques et à un arbitrage budgétaire.
http://leplus.nouvelobs.com

Protection des mineurs isolés étrangers : un enjeu d'avenir

Depuis le 1 er  septembre, le Conseil général de la Seine-Saint-Denis refuse d’accueillir les mineurs isolés étrangers  (MIE), des enfants ...
Le politiche per l’immigrazione messe in atto dall’Unione europea e dall’Italia “preoccupano profondamente” Amnesty International. In particolare, il memorandum firmato dall’Italia con il Cnt per un’assistenza reciproca e per la cooperazione nella ‘lotta alla migrazione illegale’, incluso il ‘rimpatrio di migranti illegali’ sul fronte libico, “solleva profondi timori che i diritti umani di migranti e rifugiati vengano ancora una volta sacrificati dalle politiche europee verso la Libia”.
L’allarme arriva da Amnesty International che nel rapporto “La battaglia per la Libia: uccisioni, sparizioni e torture”, denuncia le violazioni dei diritti umani durante il conflitto libico, non trascura gli effetti della guerra sull’immigrazione. Secondo l’organizzazione internazionale, l’Italia e l’Unione europea “pur avendo ricevuto in questi mesi soltanto il 2 per cento dei richiedenti asilo, rifugiati e migranti fuggiti dalla Libia, non hanno esitato a parlare di un ‘afflusso di massa, causato dall’instabilita’ nell’Africa del Nord e hanno continuato a perseguire politiche di controllo delle frontiere a spese dei diritti umani”. Inoltre, critica Amnesty che ricorda che dal marzo 2011 almeno 1500 persone sono morte in mar, “gli stati dell’Unione europea e la Nato non hanno adottato tutte le misure necessarie per garantire ai civili in fuga dalla Libia di mettersi in salvo, pur essendo la protezione dei civili la ragion d’essere dichiarata dell’intervento della Nato in Libia”.Questo, prosegue il rapporto, “segue a un periodo di intensa collaborazione con il governo del colonnello Gheddafi, cooperazione che ha di fatto dato sostegno a prassi abusive nei confronti di rifugiati e migranti e rispetto alla quale l’Italia ha giocato un ruolo fondamentale”. Piu’ di recente, ricorda Amnesty, “l’Italia, con una scelta che solleva preoccupazioni, si e’ impegnata in un memorandum firmato con il Cnt a un’assistenza reciproca e alla cooperazione nella ‘lotta alla migrazione illegale’, incluso il ‘rimpatrio di migranti illegali’. La firma di questo memorandum mentre in Libia infuriava il conflitto, in totale assenza di adeguate garanzie per i diritti umani e per il diritto dei rifugiati, solleva profondi timori che i diritti umani di migranti e rifugiati vengano ancora una volta sacrificati dalle politiche europee verso la Libia”.Il rapporto di Amnesty International sottolinea che “e’ il momento che gli Stati dell’Unione europea riflettano sull’impatto che politiche migratorie praticate nei confronti dei paesi della sponda sud del Mediterraneo hanno avuto sui diritti umani e pongano finalmente la protezione dei diritti umani e dei rifugiati al centro delle proprie decisioni”. (diritto-oggi.it - AGI)

IMMIGRATI: AMNESTY, POLITICHE ITALIA E UE SU LIBIA "PREOCCUPANO"

Le politiche per l’immigrazione messe in atto dall’Unione europea e dall’Italia “preoccupano profondamente” Amnesty International. In partic...
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