Le Réseau euroméditerranéen pour la protection des mineurs isolés (REMI) réunit une dizaine de collectivités francaises du pourtour méditerranéen confrontées au phénomène des mineurs isolés. 
Weka : Muriel Nabeth, qu’est-ce que le REMI ?

Muriel Nabeth : C’est une association créée en mars 2005, suite à une grande conférence organisée par la région PACA en 2002 sur le thème des mineurs isolés, et réunissant un certain nombre de collectivités et spécialistes. L’ensemble de ces collectivités s’est réuni pour devenir le REMI, autour de la région PACA les départements du Nord, du Vaucluse, de Haute-Corse, des Bouches-du-Rhône, la ville de Paris, mais aussi les régions de Toscane, de Tanger-Tetouan, le ministère de la Famille et des Solidarités algérien, etc.
Nous travaillons à sensibiliser les Etats et nos divers partenaires sur le thème des mineurs étrangers isolés, proposons des formations, faisons de l’échange de connaissances et de bonnes pratiques.

Weka : Quelle est la situation aujourd’hui de ces jeunes ?

Muriel Nabeth : Ce sont des jeunes qui relèvent à la fois de la protection de l’enfance et de l’immigration. Mais à partir du moment où ils sont seuls, sans attaches parentales, sur le territoire, leur minorité prime et ils sont en droit de bénéficier d’une protection . Le problème est que lorsqu’ils deviennent majeurs, si aucune démarche n’a été entreprise pour qu’ils bénéficient de scolarisation de formation, qu’ils aient une carte de séjour, ils deviennent clandestins. Et la grande difficulté est que  ces jeunes non pas de statut.
C’est ce que nos associations demandent aujourd’hui, avec un statut proche du droit d’asile mais cela nécessite une certaine volonté politique.  Il faut savoir que ces enfants, estimé à  25000 en Europe, ont quitté leur pays pour raisons économiques, de guerre, pour un pays inconnu, dont ils ne connaissent pas la langue, etc. Il convient donc de bien recontextualiser.

Entretien avec Muriel Nabeth, déléguée générale du REMI

Le Réseau euroméditerranéen pour la protection des mineurs isolés (REMI) réunit une dizaine de collectivités francaises du pourtour médit...
El Gobierno de la Ciudad Autónoma confirmó ayer, a través de su portavoz, Guillermo Martínez, que sigue estudiando el traslado de los menores extranjeros no acompañados (MENA) que residen actualmente en el centro de ‘La Esperanza’, pero que su posible cambio al edificio que se acaba de construir en Hadú no es todavía una propuesta definitiva. “Los MENA van a salir de allí, pero aún no sabemos hacia donde”, dijo Martínez, quien aseguró que el Gobierno “está estudiando el problema”.
El destino de los más de cien menores extranjeros no acompañados (MENA) que residen actualmente en el centro de ‘La Esperanza’ sigue sin estar decidido. Así lo confirmó ayer el Gobierno de la Ciudad a través de su portavoz, Guillermo Martínez, que aclaró, en rueda de prensa tras el Consejo de Gobierno, que el traslado de los menores es algo que va a suceder de forma definitiva, pero hacia un lugar todavía por determinar. “No ha cambiado nada porque el Gobierno no ha tomado ninguna decisión, sigue estudiando y analizando. No creo que debamos dar pasos adelante que después sean irreversibles”, afirmó el consejero, que dejaba así en el aire la propuesta de trasladarlos al nuevo edificio en la barriada de Hadú, que hace aproximadamente un mes hizo la consejera responsable del área, Susana Román.

Los MENA saldrán de ‘La Esperanza’, pero no es seguro que hacia Hadú

El Gobierno de la Ciudad Autónoma confirmó ayer, a través de su portavoz, Guillermo Martínez, que sigue  estudiando el traslado de los me...
Le garde des Sceaux Michel Mercier a reçu mercredi 5 octobre 2011 Claudy Lebreton, président (PS) de l’Assemblée des départements de France (ADF), et Claude Bartolone, président (PS) du conseil général de la Seine-Saint-Denis, afin d’évoquer « la question de la prise en charge (des MIE) dans ce département et les solutions à mobiliser ».
« A court terme, ces solutions passent par la mise en place d’un système de répartition géographique mieux équilibré entre départements, dont les modalités seront précisées dans les tout prochains jours », a indiqué la Chancellerie.
M. Mercier se dit en outre « prêt à prendre part à une réflexion à engager au niveau interministériel ».
« Un accord institutionnel pour une répartition équitable entre départements est une première étape », a réagi M. Bartolone dans un communiqué, appelant à « une mobilisation interministérielle ».
Un mois pour que les choses bougent - Le conseil général a réouvert lundi son pôle d’évaluation des MIE, qui représente pour ceux-ci une première étape en vue de leur accueil, sans toutefois accepter d’en accueillir de nouveaux sur son territoire.
Il pourrait revenir sur cette réouverture, « si rien ne bouge d’ici un mois ».
La Seine-Saint-Denis, l’un des points d’entrée sur le territoire national via l’aéroport de Roissy, a la charge d’un millier de mineurs isolés étrangers sur un total d’environ 6 000 en France.
Elle refuse d’en accueillir de nouveaux depuis le 1er septembre.
Problème national - La prise en charge de ces mineurs a coûté 35 millions d’euros au département en 2010. Or pour M. Bartolone, il s’agit d’un « problème national » et « non d’une affaire locale ».
Pour l’ADF, l’accueil des mineurs étrangers, qui repose « exclusivement » sur les départements, « relève d’une politique nationale ». « C’est avant tout un sujet lié à l’immigration et à ce titre, le gouvernement ne saurait s’exonérer de ses responsabilités », écrit l’ADF dans un communiqué.

Mineurs isolés étrangers: vers une répartition plus équitable entre départements

Le garde des Sceaux Michel Mercier a reçu mercredi 5 octobre 2011 Claudy Lebreton, président (PS) de l’Assemblée des départements de Fran...

“Un tavolo interistituzionale provinciale permanente presso il Palazzo del Governo di Reggio Calabria, coordinato dal Prefetto Luigi Varratta per dare vita a sinergie e a forme di interazione e raccordo fra tutti i soggetti che, a vario titolo, si occupano di minori”. Questa la proposta che il Garante dell’infanzia e dell’adolescenza della Regione Calabria, on. Marilina Intrieri ha formulato, stamani, nel corso di una riunione (la terza che segue due analoghe iniziative a Crotone e a Cosenza), coordinata dal Prefetto di Reggio Calabria. Una proposta su cui si è registrata piena convergenza.“Fra le istanze emerse nel corso dell’incontro - ha proseguito il Garante - anche quella di un maggior dialogo fra i soggetti seduti allo stesso tavolo da cui possano originare e scaturire protocolli d’intesa per la istituzionalizzazione di linee guida e buone pratiche. Fra le proposte, l’attivazione di centri diurni e semidiurni; la creazione di centri specializzati per l’accoglienza di minori vittime di violenze e abusi e di strutture di accoglienza per minori stranieri non accompagnati”. 

UN TAVOLO ISTITUZIONALE PER I MINORI A REGGIO CALABRIA

“Un tavolo interistituzionale provinciale permanente presso il Palazzo del Governo di Reggio Calabria, coordinato dal Prefetto Luigi Varra...
La Ciudad Autónoma de Ceuta construirá un nuevo centro para los menores que acceden ilegalmente a la ciudad y que desde hace varios años ocupan lo que era una antigua residencia de un jefe militar.
El portavoz del Gobierno autonómico, Guillermo Martínez (PP), ha expresado en rueda de prensa el compromiso del Ejecutivo de dar una solución definitiva al problema del centro para menores extranjeros no acompañados (MENA).
Estos menores residen actualmente en el centro de acogida de "La Esperanza", situado en el Monte Hacho, donde viven más de cien niños, entre 12 y 17 años.
Guillermo Martínez ha hecho estas manifestaciones después de que el Gobierno esté analizando distintos aspectos para tomar una decisión definitiva con respecto a las instalaciones construidas en la barriada de San José.
Estas instalaciones estaban concebidas inicialmente como albergue para familias sin hogar, pero se ha barajado que se transformen en un centro para los MENA.
"El Gobierno está estudiando varias alternativas, pero dará una solución a ambas cuestiones", ha comentado.
La intención del Gobierno es contar con un nuevo centro para los menores extranjeros y seguir atendiendo a las familias que son desalojados o que carecen de recursos para disponer de una vivienda.
Para tomar la decisión definitiva, se tendrá en cuenta "criterios técnicos y raciocinio", ha añadido Guillermo Martínez. (abc.es)

Ceuta construirà un nuevo centro para los menores immigrantes

La Ciudad Autónoma de Ceuta construirá un nuevo centro para los menores que acceden ilegalmente a la ciudad y que desde hace varios años ...
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