Enfin !!

Le gouvernement, par la voix du Préfet de Seine Saint Denis, vient d’annoncer des mesures tendant à atténuer la charge des mineurs isolés étrangers sur le département.

Ces mesures restent à confirmer et surtout, il est nécessaire qu’elles soient accompagnées d’un calendrier et d’un chiffrage précis.

Mais il s’agit bien d’une avancée.

La position du gouvernement était intenable car celui-ci se déchargeait sur quelques départements de l’arrivée, sur leur territoire, de mineurs isolés étrangers relevant pourtant de la solidarité nationale.

C’est notre pays, la France, qui doit à ces jeunes mineurs, victimes de la guerre et de la misère, protection et assistance en vertu de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant qu’elle a signée.

C’est donc bien dans la péréquation régionale, voire nationale, et grâce à un financement de l’Etat que ce problème des MIE peut trouver solution.

Nous nous félicitons de ces annonces qui confirment, sur ce point, notre combat contre les transferts de charges et nous incitent à prolonger l’action pour que la dette de 700 millions de l’Etat soit, dans le prolongement, prise en compte.

Nous restons donc combatifs et vigilants.

Vigilants car si nous apprécions l’annonce de décisions, nous attendons qu’elles soient mises en œuvre le plus rapidement possible et que les budgets nécessaires soient débloqués.

Une fois de plus nous exigeons qu’une cellule de suivi soit mise en place, regroupant les services de l’état et les services du département (sous la responsabilité des vice-Présidents en charge du dossier) afin de vérifier la bonne application du plan annoncé.

Enfin, nous ne saurions accepter que ces mesures positives s’accompagnent d’un durcissement des conditions d’accueil de ces jeunes en souffrance à qui nous devons solidarité et assistance.(communistescitoyenscg93.net)
 
 
 
Les mineurs isolés étrangers (MIE) seront répartis à leur arrivée en France de manière "plus équitable et homogène", a annoncé jeudi 22 septembre 2011 la préfecture de Seine-Saint-Denis, trois semaines après que ce département a décidé de ne plus les accueillir.(lagazette.fr)


Une « mobilisation interministérielle » a permis de trouver un accord jeudi 22 septembre, selon lequel « le ministère de la Justice va oeuvrer, à une répartition, plus équitable et homogène, de l’accueil des mineurs étrangers », écrit le préfet Christian Lambert dans un communiqué.



Les MIE continueront d’être placés dans les services de l’aide sociale à l’enfance, qui dépendent des conseils généraux. Mais aucune précision n’a été donnée jeudi soir sur les modalités de la répartition.



En outre, « l’Etat apportera un soutien financier à la plate-forme aéroportuaire de Roissy-Charles-de-Gaulle, administrée par la Croix rouge », selon le communiqué, qui ne précise pas le montant de ce soutien.



Par ailleurs, l’Office de l’immigration et de l’intégration est appelé à « se mobiliser, en appui des services départementaux, pour apporter un concours aux mineurs qui peuvent être réadmis dans leur pays d’origine ».



Charge financière excessive sur la Seine-Saint-Denis- Ces « solutions » sont « de nature à ne pas faire peser sur le département de la Seine-Saint-Denis, une charge financière excessive », selon le document.



En contrepartie, l’Etat demande au conseil général de Seine-Saint-Denis, présidé par Claude Bartolone (PS), de « reprendre l’accueil des mineurs isolés étrangers ».



Depuis le 1er septembre 2011 , le conseil général de la Seine-Saint-Denis, un point d’entrée sur le territoire national via l’aéroport de Roissy, n’accueille plus de nouveaux mineurs isolés étrangers, estimant qu’il s’agit d’un « problème national » et « non d’une affaire locale ».



En 2010, en Seine-Saint-Denis, 943 mineurs étrangers isolés ont été confiés à l’aide sociale à l’enfance. Leur prise en charge a coûté 35 millions d’euros, soit 20% du budget consacré à l’enfance dans ce département pauvre, selon le conseil général.



Il y aurait en France quelque 6.000 mineurs isolés étrangers.

Mineurs Isolés Etrangers: accord pour "une répartition plus équitable" en France

Enfin !! Le gouvernement, par la voix du Préfet de Seine Saint Denis, vient d’annoncer des mesures tendant à atténuer la charge des mineur...
La consejera de Bienestar Social y Sanidad asegura que se está registrando un incremento «preocupante» en las entradas de menores extranjeros no acompañados. Si hasta el miércoles eran 15 los adolescentes que habían conseguido llegar a Melilla en un intervalo de unas cuantas horas, a esta cifra se le deben sumar otros seis menores de edad que entraron ayer.
En los micrófonos de COPE, María Antonia Garbín subrayó que estamos ante una situación «que es preocupante y seria» porque, según consta en los informes realizados por los agentes de la Policía Local, «todos» esos menores magrebíes reconocen que han pasado por Beni-Enzar o Barrio Chino, «pero siempre por los pasos peatonales», de ahí que la Consejería de Bienestar Social le haya comunicado a la Delegación del Gobierno la «necesidad» de que se convoque una reunión entre las Fuerzas y Cuerpos de Seguridad del Estado y la Policía Local para poner los datos encima de la mesa «y ver lo que está ocurriendo».
«Estamos hablando de que estos jóvenes están entrando en grupos importantes durante la última semana, por lo que hay que analizar qué es lo que está pasando en los últimos días. Algo está ocurriendo y, evidentemente, hay que disponer de todos los medios que estén a nuestro alcance», defendió María Antonia Garbín, quien no obvió el compromiso asumido por el delegado del Gobierno para investigar las razones que pueden explicar este repunte. Tras matizar que, «a parte de las razones, lo que está claro es que lo que hay que impedir es que entren», la consejera de Bienestar Social aclara que si estos menores entran por la frontera, «por los pasos peatonales de la frontera», habrá que estudiar la situación y poner más medios para que, después, ambas administraciones estudien el por qué. «Cuando hay un repunte en la entrada de menores o de inmigrantes subsaharianos siempre hay un por qué que está directamente relacionado con la intención de llegar a la península o por cuestiones documentales. Lo que está claro es que primero hay que impedir que esos intentos de entrada se hagan efectivos para, en segundo lugar, estudiar las causas de este importante y preocupante avance de los últimos días», indicó.
Cifras «disparadas»
En base a estas nuevas entradas, las cifras en el centro de la Purísima, que es el de referencia por ser de mayor capacidad, están «disparadas», ya que acoge a más de 160 personas, «pero hay que tener en cuenta que hemos utilizado uno de sus módulos para reforma, con lo cual contamos con un módulo menos».
A propósito del nuevo centro de reforma, confirmó que el equipamiento «está llegando». Reconoce Garbín que su apertura «nos corre prisa» porque, por un lado, va a ser un centro «puntero» y, en segundo lugar, porque La Purísima se encuentra en una situación «límite». A esta realidad le añade la consejera la decisión del Gobierno central de rebajar, «de forma ostensible y bochornosa», la partida para atender a estos menores inmigrantes. «En 2011, llegaron 1,9 millones de euros, cuando el Partido Popular reservaba una partida de 3,3 millones de euros y, ahora, suma y sigue. Cada menor que entra es un coste adicional para las arcas de la Ciudad Autónoma», concluyó.(diarosur.es)



Garbín recalca que el incremento en las entradas de menores es «preocupante»

La consejera de Bienestar Social y Sanidad asegura que se está registrando un incremento «preocupante» en las entradas de menores extranjero...

...di seguito il delirio populista e xenofobo della deputata Leghista Maravento in una intervista pubblicata dal "ilfattoquotidiano.it"

Maraventano, vicesindaco di Lampedusa
“Tunisini delinquenti, fomentati dalle ong” 
"Al loro paese stanno benissimo, l'inferno è qui". La leghista siciliana se la prende con le associazioni umanitarie. Al governo chiede il pugno di ferro, con rimpatri e risarcimenti per gli abitanti dell'isola
Prima il voto in commissione a Palazzo Madama, poi di corsa in taxi verso l’aeroporto di Fiumicino. Angela Maraventano, senatrice della Lega Nord e vicesindaco di Lampedusa, ha fretta di tornare sull’isola. Da quando è scoppiata la rivolta nel Centro di accoglienza in contrada Imbriacola, è inquieta. Il sangue siciliano ribolle sotto la camicia verde. E poi «mia madre mi ha chiamato piangendo”, spiega, “alcuni tunisini hanno tentato di aggredirla. Devono andarsene…».

Senatrice, ci risiamo. A Lampedusa è di nuovo emergenza.“Era prevedibile perché si tratta di tunisini: è la seconda volta che appiccano il fuoco. Se fossero stati libici non sarebbe successo niente. Si sono rivelati dei delinquenti, sono pericolosi per Lampedusa e per il paese: questi vengono qui solo per fare danno. Devono essere rimpatriati, non sono persone civili”.

La rivolta è dipesa dalle condizioni precarie in cui erano costretti a vivere nel Centro di accoglienza?“Macché! Sono tutti dei delinquenti e basta. Vi dico pure che sono stata a Tunisi e là stanno benissimo, non hanno nessun problema. L’inferno lo abbiamo noi, non loro. E poi, in passato, abbiamo ospitato migliaia di profughi e non è mai successo niente. Solo con loro ci sono problemi”.

Al di là degli scontri di questi giorni, anche se la permanenza fosse pacifica, il problema immigrazione a Lampedusa resterebbe.“Con il governo, dopo gli accordi dei giorni scorsi a Tunisi, abbiamo stabilito che saranno rimpatriate cento persone al giorno. Prima, erano solo 60 alla settimana. Il motivo di questa rivolta è che appena sanno del rimpatrio si ribellano. E a dirglielo sono anche le associazioni umanitarie accampate sull’isola e di cui chiederò l’allontanamento, stanno rovinando Lampedusa. Salvaguardano i tunisini, mentre noi moriamo di fame”.

Lei vuole dire che ostacolano la vita dei lampedusani?“La ostacolano molto, fomentano queste persone contro il governo e contro di noi”.

Le aizzano addirittura contro di voi?“Sì. Magari non tutte, solo alcune. È da un po’ che sospetto questo comportamento. Loro fomentano la gente perché gli dicono la verità…

Quindi, meglio nascondere la verità…“Magari sarà giusto dirgli la verità, però non si può fomentare la gente dicendo, ‘se non vi ribellate vi rimpatriano’. Ora la lotta sarà dura contro tutti. Sono arrabbiata. Io sono la prima che ha accolto profughi a Lampedusa, e ora non è che li voglio ammazzare appena arrivano. Ma questi tunisini non sono degni. E i minori sono peggio degli adulti, vogliono essere lasciati liberi a dieci anni. Certo, gestire gli adulti è più difficile. Il problema è che le nostre forze dell’ordine, ultimamente, stanno facendo solo vigilanza di protezione civile…

Cioè non hanno fatto il possibile?“Sì, ma non sono stati duri come vorrei. Le motovedette hanno fatto servizio di protezione civile, non hanno mai fatto servizio militare… Noi gli andiamo a salvare il culo in mare, e poi ci ringraziano appiccando il fuoco. Devono capire che sono ospiti a casa nostra. Abbiamo fatto un progetto bellissimo accogliendoli in tutta Italia”.

Lei dice che il governo ha un piano per fronteggiare il problema, eppure il sindaco De Rubeis ha detto di essere stato lasciato solo.“Ognuno si prende le responsabilità di quello che dice, io sono il vice sindaco e lui è il sindaco. Come vice posso dire che c’è stata una programmazione seria. E poi ho parlato con lui (De Rubeis, ndr) e dice che ce l’ha con i tunisini, non con il governo”.

Allora il governo sta operando bene?“Certo”.

Nei mesi scorsi, è nato il sospetto che la Lega abbia approfittato dell’emergenza per motivi politici.“Non è vero. Io sono una leghista, approvo tutto quello che dice la Lega, penso che i tunisini non possano rimanere nel nostro territorio. I delinquenti devono tornare a casa loro”.

Onorevole, a Lampedusa non rischia di essere mal voluta, vista l’insofferenza diffusa?“Io posso camminare a testa alta, non ho mai tradito la mia gente, ho solo seguito un progetto preciso e cioè combattere l’immigrazione clandestina”.

Sa che è nato un comitato di commercianti guidato da alcune associazioni di consumatori, pronto a chiedere il risarcimento dei danni economici e morali causati da questi lunghi mesi di emergenza?“Certo! È giusto, dobbiamo essere risarciti per i danni subiti”.

Sì, ma chi aderisce punta il dito contro la cattiva gestione da parte del governo.“A fine stagione tireremo le somme e chiederemo al governo altri aiuti, oltre a quello che già ha fatto, cioè sospendere le tasse e i mutui. Anch’io ho un’attività a Lampedusa. Ma sono una persona onesta che non vuole approfittare del fenomeno”.

Quindi c’è qualcuno che vuole approfittare dell’emergenza per fare soldi?“No, dico solo che il governo si è messo a disposizione con delle agevolazioni fiscali, ma se alla fine della stagione avremo altre perdite economiche, chiederemo i danni”.

Lei dice “chiederemo”, quindi anche lei chiederà i danni?“Certo! Sarò io la prima a chiederli. Ho un’attività con otto persone che lavorano per me, do da mangiare a otto famiglie di Lampedusa”.

Non è contraddittorio sostenere in pieno l’azione di governo e poi però chiedere il risarcimento al governo stesso?“No, perché il governo ha fatto l’impossibile per contrastare questo fenomeno. Per ora, sta facendo bene. Se domani farà male chiederò i danni e appoggerò il comitato. Fino a oggi però sono soddisfatta. Poi conoscendo qualcuno del comitato… non mi faccia andare oltre”.

La zona franca nascerà?“È solo quella che ci può fare crescere. Le assicuro che Lampedusa non pagherà mai più tasse. Dobbiamo essere premiati per quello che abbiamo fatto”.

Magari avrete la zona franca, la gente non pagherà le tasse, ma se Lampedusa continuerà ad avere 300 nuovi immigrati al giorno, il problema resterà irrisolto.“Spero che il nostro governo faccia accordi seri per i respingimenti. E basta”.

Nascerà anche il campo da golf promesso da Berlusconi?“La proposta di fare campo da golf e casinò l’ho fatta vent’anni fa. Lampedusa è un’isola stupenda, è patrimonio di tutti, perché non farli? Prima, però, ci sono problemi più importanti da risolvere”.

il delirio populista e xenofobo della deputata Leghista Maravento in una intervista pubblicata dal "ilfattoquotidiano.it"

...di seguito il delirio populista e xenofobo della deputata Leghista Maravento in una intervista pubblicata dal "ilfattoquotidiano.it...
Va-t-on vers une solution dans le dossier des mineurs isolés étrangers en Seine-Saint-Denis ? Depuis le 1er septembre, le bras de fer était engagé entre le conseil général du 93 et l’Etat, autour de la prise en charge des jeunes étrangers isolés qui arrivent en France. Actuellement, un mineur sur six qui arrive en France échoue en Seine-Saint-Denis.  Le 1er septembre, le département du socialiste Claude Bartolone a annoncé qu'il refusait d’accueillir de nouveaux mineurs, au-delà du millier qu’il a déjà en charge et qui pèsent sur son budget pour près de 40 millions d'euros par an. 
Après trois semaines de blocage, l’Etat semble faire un geste. Le préfet de Seine-Saint-Denis Christian Lambert annonce ce jeudi soir plusieurs mesures accordées par le ministère de la Justice. Ce dernier veut notamment «oeuvrer à une répartition plus équitable et homogène de l’accueil des mineurs étrangers». Il annonce également un soutien financier à un dispositif d’orientation des mineurs isolés étrangers, administré par la Croix-Rouge. Les pouvoirs publics, indique le préfet, «attendent du président du conseil général qu’il reprenne l’accueil des mineurs isolés étrangers placés auprès de ses services par décision de justice».  (leparisien.fr)

Mineurs isolés en Seine-Saint-Denis : le ministère fait des propositions

Va-t-on vers une solution dans le dossier des mineurs isolés étrangers en Seine-Saint-Denis ? Depuis le 1er septembre, le bras de fer était ...

Melilla, 22 sep (EFE).- Melilla ha registrado hoy la llegada de otros seis menores extranjeros no acompañados, por lo que crece la preocupación en la ciudad por el notable repunte de la inmigración infantil.

Según han informado a Efe fuentes policiales, las entradas de los menores se han producido durante la jornada, a través de alguno de los puestos fronterizos que separan Melilla y Marruecos.

La llegada de estos menores incrementa la preocupación de las autoridades melillenses, después de que la consejera de Bienestar Social, María Antonia Garbín, denunciara ayer la situación que se viene produciendo en los últimos días, con entradas de un gran número de adolescentes de entre 15 y 16 años, algo no habitual en estas fechas.

El pasado lunes quince menores accedieron también a Melilla por la frontera, lo que ha originado la saturación de los centros, sobre todo en el de la Purísima, el de mayor capacidad, que acoge a más de 160 personas. EFE (ABC.ES)

 

Leonardo

Noticias agencias Llegan a Melilla otros seis menores extranjeros no acompañados

Melilla, 22 sep (EFE).- Melilla ha registrado hoy la llegada de otros seis menores extranjeros no acompañados, por lo que crece la preocupac...
Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...

 

Minori Stranieri Non Accompagnati © 2015 - Designed by Templateism.com, Plugins By MyBloggerLab.com